traders

Trader, broker, opérateur de marché… Tous ces termes en font rêver certains. D’autres au contraire n’y voient que les symboles des excès du capitalisme. Alors que les bonus ont été distribués dans notre entreprise voyons ensemble ce qui peut se cacher derrière ces métiers.

Certes, ces emplois sont des emplois bien rémunérés. Et pour cause, un trader, de par la réactivité dont il doit faire preuve, doit traiter l’information excessivement rapidement. Il doit donc connaître les influences financières et économiques d’événements (annonce de résultats, liquidation judiciaire d’une entreprise, niveau de masse monétaire…). La plupart des traders possède donc le plus souvent un Mastère II ou un diplôme issu des grandes écoles de commerce. Il occupe un poste clef au sein de la Société Générale qui lui permet de faire gagner à l’entreprise beaucoup d’argent mais aussi qui peut lui en faire perdre énormément.

C’est dans ce dernier point que se trouve le revers de la médaille. En effet, son milieu professionnel prônant l’hyper-performance, il est soumis à des diktats qu’il intériorise et fait siens. En conséquence, il établit un plan de carrière bien défini et doit prouver, pour le mener à terme, qu’il est le meilleur. Pour y arriver : il n’y a pas trente-six façons : le métier de la finance ne s’arrêtant jamais sur l’ensemble du planisphère, le trader se retrouve souvent sans limite horaires. Il repousse donc le cadre du temps de travail légal, du temps de vie personnelle, du temps de sommeil, tout en alimentant un niveau de stress à un taux maximal.

Le trader est donc un salarié à part dans le monde de la finance et en particulier chez Société Générale. Il est donc  souvent mis sous les feux des projecteurs. Le stress aidant, la carrière d’un trader est relativement courte mais sa rémunération en est que plus intéressante. Elle peut être un excellent point de départ pour une longue carrière dans notre banque.

Vous qui lisez cet article, que pensez vous de tout cela ? N’hésitez pas à nous laisser votre sentiment à la suite de cet article.